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« un c’est bien, dix c’est mieux »
Que ce soit un consommateur de produits stupéfiants (tabac, alcool, cannabis, cocaïne, médicaments psychotropes, autres substances psychoactives…) ou quelqu’un qui se comporte de manière stupéfiante (travail, sport à outrance, troubles de comportement alimentaire, addictions aux jeux, sexe, chemsex…), tous nous disent : « un c’est bien, dix c’est mieux », et « tout ce que je fais, je le fais à fond, de manière compulsive, excessive. »
C’est là que la psychothérapie cognitivo-comportementale est une approche véritablement efficace pour comprendre l’hyperactivité et la souffrance qui accompagnent la dépendance. C’est là que tous les professionnels de notre équipe, qui sont eux aussi passés par là, pourront avoir un impact sur votre vie.
C’est là que le groupe « Alumni » (groupe d’anciens patients) vous sera utile comme jamais.
C’est en travaillant sur des schémas de pensée qui accompagnent les comportements stupéfiants de l’addict (comme : tout faire à la dernière minute, procrastiner ou vouloir tout faire parfaitement jusqu’à l’épuisement) que nous vous guiderons vers des changements positifs et durables.
Une mauvaise gestions des émotions
Une hypersensibilité, un sentiment quasi-permanent de montagnes russe, un train mental plus rapide que tous les TGV réunis, le sentiment de ne pas être à sa place, pas assez… sont quelques-uns des traits de caractère communs des addicts avec lesquels nous travaillons depuis plusieurs décennies.
Grâce à des techniques efficaces (qui prennent leurs sources dans les tout premiers centres de traitement Californiens), le programme S.O.B.R.E. est en premier lieu l’apprentissage d’une meilleure gestion de vos émotions.
Des mots sur vos maux
Il était une fois un ou des pansements* que l’addict a choisi pour Aller-Mieux jusqu’à ce que ça n’aille plus bien du tout. C’est pour cela que vous êtes en train de lire ces lignes.
Il était une fois une souffrance : la vôtre ou celle d’un proche dont personne n’a parlé. Alors on s’adapte. Darwin disait que cela faisait partie de l’évolution. Peut-être dans un premier temps en silence, en se disant que ça va passer ou que « même pas mal ! ». Chez les addicts qui ne dit mot consent. L’addiction prend ses sources dans « l’a-diction ». Ne minimisez jamais le fait que cette maladie vous dira que vous n’avez pas de maladie. Ça s’appelle aussi : le déni.
Chez Aller-Mieux, on met tous des mots sur nos maux.
*Tabac, alcool, cannabis, cocaïne, travail, sport, troubles de comportement alimentaire, addictions aux jeux, sexuels, chemsex, médicaments psychotropes, autres substances psychoactives…
Êtes-vous prêt à vivre et à ne plus survivre ?
Nous vous accompagnerons de la dépendance à l’indépendance.
Membre titulaire du comité scientifique de SOS Addictions
Nous nous déplaçons dans toute la région PACA et travaillons virtuellement à l’international.